Relations internationales

Voici quelques informations concernant la mobilité à l'étranger.

Contacts

Au département de mathématiques et informatique

Sabine MERCIER
mercier@univ-tlse2.fr

pour répondre aux premières interrogations, vous mettre éventuellement en relation avec les « anciens », mettre en place votre projet pédagogique...
Il existe aussi une page Facebook « Maths-Info Utm Erasmus » pour rentrer en contact directement avec des étudiants du département ayant vécu l’expérience.

Au service des relations internationales de l'université
https://www.univ-tlse2.fr/accueil/international/partir-a-letranger
Téléphone : 05 61 50 36 46

 pour gérer les dossiers administratifs, les questions relatives aux bourses, finaliser votre départ...

Quels pays ?

Il y a les universités, avec lesquelles le département a une convention, ce qui correspond à des places réservées pour les étudiants du département. Il s’agit d’université de l'Espace économique européen (EEE) avec le programme ERASMUS (European Region Action Scheme for the Mobility of University Students).

ALLEMAGNE: CHEMNITZ (Technische Universität Chemnitz-Zwickau) : 1 mobilité
ESPAGNE : MADRID (Universidad complutense de Madrid) : 1 mobilité
ROYAUME-UNI : Suite au Brexit, les derniers départs pour Liverpool ont lieu pour l'année 2021-2022. Nous recherchons actuellement de nouvelles destinations anglophones correspondant à nos besoins.
LUXEMBOURG : pour la L3 MIASHS parcours info (Université du Luxembourg)

1 mobilité = 2 semestres, un étudiant peut, s’il le souhaite, partir pour 1 seul semestre.

AUTRES PAYS
Il y a également le CREPUQ, programme d'échange étudiant avec les universités québécoises, les Etats-Unis, l’Australie, l’Asie... Ces destinations et leurs places sont gérées par l’université et non par le département.
  • En 2013-2014 une étudiante de L2MIASHS est partie en Argentine.
  • En 2018-2019 une étudiante à l'université de Laval (Canada), un étudiant en Corée du Sud
Il est aussi possible de partir un peu partout dans le monde, soit par l'intermédiaire de conventions déjà mises en place par les autres départements, soit tout simplement en proposant une base de projet, suffisamment à l'avance...

Quand faut-il s'y prendre ?

En ce qui concerne ERASMUS, le dossier de candidature finalisé doit être déposé aux services des relations internationales de l'université au plus tard début mars, pour partir l'année universitaire suivante. Pour cela, il vous faut prendre contact assez tôt, fin décembre ou mi-janvier au plus tard, avec la coordinatrice des relations internationales du département, Sabine MERCIER, afin d’établir le programme d’études (choix des cours dans l’université d’accueil).
Pour le CREPUQ, ou tout autre destination dans le monde avec laquelle l'université aurait une convention bilatérale, il est capital de s'y prendre plus tôt. Le dossier finalisé devant être déposé fin janvier, il est demandé de prendre contact dès décembre avec la coordinatrice des relations internationales du département, et de proposer une première version du contrat dès le retour des vacances de Noël. Cela est important car le dossier sera ensuite examiné par une commission pour sélection et doit donc être établi avec attention, car cela peut nécessiter plusieurs aller-retour et échanges concernant le choix des cours.

Stages

Du nouveau depuis peu pour vous permettre d'effectuer votre stage à l'étranger, avec « ERASMUS stage », que vous ayez effectué votre année à l'étranger où que vous souhaitiez juste partir pour y faire votre stage de fin d'année. Il y a quelques contraintes dans le sens où  le stage doit se dérouler dans une entreprise privée. Il y a également différentes possibilités de bourses.

L'aide financière

Il existe une bourse ERASMUS. Il existe d'autre part pour les étudiants boursiers, un complément à la mobilité internationale cumulable avec la bourse ERASMUS octroyée pour une partie ou la totalité du séjour. Il existe également des compléments de mobilité par le biais de la région. L’université aussi propose des aides financières pour des séjours hors Europe (bourses Mirail Mundi par exemple).
Pour plus de détails sur les bourses et aides financières liées à la mobilité, vous pouvez consulter le site de l'université des relations internationales "Partir à l'étranger / Aides financières".

Quelques précisions sur le diplôme

Dans le cadre ERASMUS, les cours et les évaluations ont lieu à l'étranger, mais le diplôme est délivré par le jury de notre département Mathématiques-Informatique.

Dans le cadre du CREPUQ, les cours et les évaluations ont lieu dans une université québécoise qui nous transmet les résultats. Ces derniers sont validés par l'université du Mirail.

Pourquoi partir


Après une petite enquête effectuée auprès des « Partis » (voir ci-dessous), deux points essentiels semblent ressortir : le premier est que malgré les étapes un peu fastidieuses du début (dossier, inscriptions, recherche d’un logement…) les retours sont positifs, « les tracas du début valent le coup ! » que ce soit d’un point de vue personnel comme professionnel ; le second point qui parle de lui-même est que la plupart des étudiants partis à l’étranger souhaite renouveler l’expérience d’une manière ou d’une autre.

Partir à l’étranger, cela ne coûte pas si cher, les aides existent.

Ci-dessous quelques retours d’expérience d’étudiants du département pour ceux qui ne serait toujours pas convaincus :
- Amie Bengalie, Liverpool, L3 MIASHS parcours info. Son retour d'expérience :

Amélie BENGALIE "Malgré que mon année à Liverpool s'est déroulé pendant la pandémie, l'expérience ERASMUS a été plus que bénéfique. 
J'ai fais une demande de logement universitaire avant d'arriver sur place, ce qui est vivement conseillé pour les étudiants étrangers. 
Vivre sur le campus m'a permis de rencontrer des étudiants venant de partout dans le monde, étant dans une université internationale, et ainsi pratiquer 
régulièrement la langue malgré les périodes de confinement. 
Les profs sont très à l'écoute des étudiants étrangers. 
Surtout ne pas hésiter à poser beaucoup de questions, à leur envoyer des messages car ils comprennent que c'est un nouveau système pour nous et qu'on ne connais pas tous les codes.
Malgré les circonstances j'ai su m'adapter et profiter de presque tous ce que le pays pouvait m'offrir."



- Romane Pares, Laval (Canada), L2 MIASHS
- Lise Cantu, Bogota (Colombie), L3 MIASHS parcours info
- Cindy Rey, Madrid, L3 MIASHS parcours maths
- Semahi Anissa, Chemnitz, M1 ISMAG
- et d'autres encore à Dublin, Berlin, Argentine, Corée, Edinburgh...